Labellisée #TerredeJeux2024, la Région met en place des animations sportives faisant intervenir des athlètes de haut niveau auprès des habitants ⚽️
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Les Hauts-de-France obtiennent le label « Terre de Jeux » pour Paris 2024
Accompagné de deux autres anciens champions olympiques, Guy Drut (athlétisme) et Thierry Rey (judo), le patron du comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris, Tony Estanguet, est venu, ce mardi après-midi, au siège de la Région à Lille, signer une convention d’attribution du label « Terre de Jeux ».
Si les Jeux de Tokyo, durant l’été 2020, représentent l’avenir proche, tous les regards en France sont aussi déjà tournés vers ceux de Paris 2024. Et Florence Bariseau, la vice-présidente en charge des sports à la Région, n’était pas peu fière, ce mardi, de voir les Hauts-de-France être la première région à signer la convention d’attribution du label « Terre de Jeux ».
Mais la signature de cette convention implique aussi des engagements : « J’ai souhaité que les collectivités aillent plus loin que ce qu’elles faisaient déjà et qu’elles mettent en place des actions autour de trois défis : l’héritage, l’engagement et la célébration de l’événement, poursuit Tony Estanguet. Des initiatives ont été listées autour de la santé, de l’éducation, de l’emploi. On ne se limite pas à l’organisation d’épreuves sportives, on veut que cet événement serve de catalyseur pour développer le sport, que plus de Français accèdent à la pratique du sport. On souhaite aussi rendre le sport encore plus irréprochable sur les questions de développement durable, en limitant au maximum l’impact du monde du sport dans les émissions de carbone. »
Si toutes ces missions sont accomplies, alors les Jeux seront réellement réussis. Et les Hauts-de-France pourront se targuer d’y avoir joué un vrai rôle.
Une preuve de confiance justifiée aux yeux de Tony Estanguet : « C’est un partenaire important avec des compétitions (le football) qui se disputeront sur votre territoire, une proximité géographique qui fait que vous êtes aux portes des Jeux, insista-t-il. On a senti un dynamisme, une envie, un savoir-faire, puisque la région a déjà été base arrière des Jeux de Londres en 2012. Puis, il y a bien sûr de nombreuses infrastructures de qualité, qui permettront d’accueillir des délégations étrangères en stage. Nous allons les recenser et les valoriser auprès des différentes nations. »